dimanche 21 novembre 2010

LES MIRACLES HISTORIQUES DU CORAN LE MOT "HAMAN" DANS LE CORAN


Le Coran rapporte au sujet de l’Égypte antique plusieurs faits historiques qui n’ont pu être découverts qu’aux périodes récentes. Cela rappelle que chaque mot dans le Coran a été révélé avec une sagesse sûre.
Haman est un personnage dont le nom est mentionné avec Pharaon dans le Coran. Homme parmi les plus proches de Pharaon, il est cité dans six versets coraniques différents.
Contre toute attente, le nom de Haman n’est jamais mentionné dans les parties de la Torah concernant la vie de Moïse. Cependant, nous rencontrons Haman dans les derniers chapitres de l’Ancien Testament, présenté comme assistant d’un roi babylonien cruel envers les Israélites aux environs de 1100 ans après Moïse.
Certains non-musulmans, qui prétendent que le prophète Mohammed a écrit le Coran en plagiant le Torah et la Bible, affirment également qu’il a repris maladroitement certains des sujets mentionnés dans ces livres. L’absurdité de ces affirmations a été démontrée seulement à la suite du déchiffrement de l’alphabet hiéroglyphique égyptien, il y a approximativement 200 ans, et de la découverte du nom “Haman” dans les manuscrits antiques.
Avant ces découvertes, les écritures et les inscriptions de l’Égypte antique ne pouvaient pas être déchiffrées. La langue de l’Égypte antique, qui a traversé les âges, était de nature hiéroglyphique. Cependant, avec la propagation du christianisme et d’autres influences culturelles dans les 2ème et 3ème siècles, l’Égypte a abandonné ses croyances anciennes et l’écriture hiéroglyphique, dont le dernier exemple connu est une inscription datant de 394. Oubliés, les hiéroglyphes ne purent par la suite être lus par personne, jusqu’il y a environ 200 ans.
Le mystère de ces hiéroglyphes égyptiens antiques a été levé en 1799 grâce à la découverte d’une tablette appelée Rosetta Stone datée de 196 avant JC. L’importance de cette pierre résidait dans l’inscription qui se composait de trois formes différentes d’écriture: hiéroglyphique, démotique (une forme simplifiée de l’écriture hiératique égyptienne antique) et grecque. Ce fut à l’aide du manuscrit grec que ces écritures ont été décodées. La traduction de l’inscription a été complétée par un Français nommé Jean-François Champollion. Ainsi, à travers ces écritures furent mis à jour d’abord un langage oublié, ensuite des événements historiques. Ceci permit de jeter une grande lumière sur la civilisation, la religion et la vie sociale de l’Égypte antique.
Avec le décodage des hiéroglyphes, une importante réalité a été découverte: le nom “Haman” était en effet mentionné dans des inscriptions égyptiennes. Ce nom a été donné à un monument dans le musée de Hof à Vienne.22
Dans le dictionnaire People in the New Kingdom, basé sur l’ensemble des inscriptions, Haman est mentionné comme étant “le chef des carrières de pierre”.23
Le résultat a révélé une vérité très importante. À la différence de la prétention fausse des contradicteurs du Coran, Haman était une personne qui a vécu en Égypte pendant la période de Moïse, qui était intime avec Pharaon et qui a accompli des travaux de construction, tel qu’il est justement indiqué dans le Coran. En outre, le verset coranique, décrivant l’événement pendant lequel Pharaon a demandé à Haman de construire une tour, est en conformité parfaite avec cette découverte archéologique.

Et Pharaon dit: “Ô notables, je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi. Haman, allume-moi du feu sur l’argile puis construis-moi une tour peut-être alors monterai-je jusqu’au Dieu de Moïse. Je pense plutôt qu’il est du nombre des menteurs’’. (Sourate al-Qasas, 38)

En conclusion, l’existence du nom Haman dans les inscriptions égyptiennes antiques a non seulement rendu les affirmations des contradicteurs du Coran invalides, mais a également confirmé encore une fois le fait que le Coran est la parole de Dieu. Miraculeusement, le Coran nous fournit une information historique qui ne pouvait pas avoir été possédée ou comprise pendant la période du Prophète. 

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